Mardi 24 janvier 2012 à 18:38


 

Talent précoce, Liu Fang, née à Kumming, province du Yunnan (Chine méridionale), donne son premier concert à l’âge de neuf ans, et à onze ans elle est choisie pour jouer devant la Reine Elisabeth II d'Angleterre lors de sa visite en Chine. Récompensée par de nombreux prix et distinctions nationales, elle sort du Conservatoire de Shanghai en 1993.

En 1996 elle choisit de s'installer au Canada où elle entreprend une impressionnante carrière internationale. Elle donne des concerts dans le monde entier et se produit fréquemment à la télévision et à la radio. Que se soit à Paris, au Théâtre de la Ville, ou participant en Grande-Bretagne et en Espagne aux festivals WOMAD ou encore dans les séries de concerts offerts par la BBC à Londres, Liu Fang sait captiver audiences et critiques tant par sa maîtrise musicale que par la variété de son répertoire.

Jeune virtuose, ambassadrice d'instruments venus du fond des temps, le pipa - luth à quatre cordes - et le guzheng - de la famille des cithares -, Liu Fang interprète des compositions classiques ou contemporaines, seule ou avec orchestre, et volontiers avec d'autres instrumentistes traditionnels (oud, shakuhachi, kora, sitar, guitare). Son répertoire guerrier ou poétique, à l'étonnant pouvoir évocateur, musique de cour, élégiaque et harmonieuse, fait voyager l'imagination exaltée de scènes d'estampes en purs moments d'éternité. A ce jour, elle a à son actif 11 albums, en solo ou en collaboration. Célébrée comme étant «l'impératrice du pipa" (L'Actualité, 2001) et «médiatrice divine" (le magazine français World, 2006), son art est reconnu et salué au plan international par de nombreuses récompenses, notamment au Canada (Prix du Nouveau Millénaire, 2001) et en France (

Grand Prix de l'Académie Charles-Cros).



Mardi 24 janvier 2012 à 18:27

 

Quand le Nouvel An chinois 2012?

 

Nouvel An chinois est observée pendant deux semaines consécutives, et est populairement connu comme la Fête du Printemps. Il commence habituellement à partir de fin Janvier et début Février. La variation de la date du festival est dû à des changements dans la piste de la nouvelle lune. La fête du printemps se termine le 15e jour lorsque la Fête des Lanternes est célébrée.

Nouvel An Chinois 2012

En 2012, le chinois du Nouvel An? Journée sera célébrée le Janvier 23. La fête du Nouvel An commencera à partir de Janvier 22 (réveillon du Nouvel An chinois ») et se termine le Février 6 (Fête des Lanternes). 2012 marque le 4710ème Nouvel An chinois, et cette fois c'est l'année du dragon selon le calendrier du zodiaque chinois.

Le dragon est le 5ème signe du zodiaque chinois et il est considéré comme un symbole de bon augure qui signifie la puissance, bonne chance, de succès et de bonheur.

 

Histoire de la Célébration du Nouvel An

Depuis les temps anciens, le Nouvel An chinois a été considéré comme le temps d'honorer les ancêtres et les divinités célestes. En outre,il a été le temps d'organiser des réunions de famille et de grands festins.

Il ya une légende associée à la célébration du Nouvel An en Chine. Il y avait un monstre nommé Nian qui a utilisé pour harceler les villageois en mangeant leurs récoltes, le bétail et leur enlevant leurs enfants. Les villageois n'avaient pas d'autre choix que de placer la nourriture à l'entrée de leurs maisons afin que le monstre ne serait-il manger et repartir sans leur nuire.

Un jour, les villageois s'est rendu compte que le monstre avait peur de la couleur rouge. Ainsi, ils ont orné leurs portes et les fenêtres avec des découpes de papier rouge et défile printemps. Les villageois ont également éclaté biscuits pour effrayer le monstre. Depuis lors, Nian jamais venu à nouveau pour le village. Hongjun Laozu, un moine taoïste, est celui qui a capturé la bête par la suite. Depuis lors, les Chinois ont célébré la capture de Nian le jour de leur nouvelle année.

Il ya d'autres histoires qui disent que les Chinois ont observé leur Nouvel An depuis le règne des empereurs sauge, Sun et Yao. La Dynastie des Zhou occidentaux observés Nouvel An, comme le moment où ils commencent leurs activités agricoles.Cet événement a également été célébrée avec des feux d'artifice et des rassemblements cérémoniels par la dynastie des Han. La dynastie des Song, aussi, constaté cette occasion spéciale avec des bambous et des feux d'artifice.

Nouvel An chinois est célébré avec des feux d'artifice, le lion danse, danse de dragon et des spectacles culturels sur la rue.Familles organiser des dîners retrouvailles sur annéea neuf? S Eve et de faire des préparations spéciales comme des rouleaux de printemps et raviolis chinois. Offrir des cadeaux d'argent est aussi une tradition populaire, suivie pendant ce festival.

 

 


 

Samedi 21 janvier 2012 à 18:58


a) La vie de saint SébastienArc MonoBloc

Saint Sébastien naît aux alentours de l'année 260 à Narbonne, d'un noble du pays et d'une dame de Milan, tous deux fervents chrétiens. Peu après, les parents de Sébastien s'installent à Milan où est donc élevé celui-ci.

Lorsqu'il atteint l'âge adulte, la 9ème persécution envers les chrétiens éclate à Rome. C'est donc vers Rome que se dirige Sébastien afin de mettre sa foi à l'épreuve.

Bien que n'ayant aucune attirance pour le métier des armes, il s'engage dans l'armée afin d'avoir les mouvements plus libres et des entrées faciles, ce qui lui permet de venir plus aisément en aide aux chrétiens martyrisés.

Dans le même temps, il est remarqué par l'empereur Dioclétien qui le prend en amitié et le nomme capitaine d'un détachement de sa garde.

La foi profonde de Sébastien lui permet de réaliser plusieurs guérisons miraculeuses : Zoé, femme de Nicostrate, était muette depuis 6 ans ; l'application de la Croix sur les lèvres lui rend la parole ; Chromace, préfet de Rome, souffrait des atteintes de la goutte ; Sébastien le guérit et le baptise, lui et toute sa famille. Environ 1400 soldats suivent alors son exemple.

En 288, Dioclétien lui reproche sa conduite et tente de le persuader d'abjurer sa foi, Sébastien refuse. Dioclétien ordonne alors aux soldats Mauritaniens - habiles à l'Arc - qu'il commandait de se saisir de lui et de le mettre à mort. Il est alors lié à un arbre (ou une colonne) et ses archers lui tirent dessus puis le laissent pour mort. C'est alors qu'une femme du nom d'Irène, veuve du saint martyr Catule, venant pour donner une sépulture à saint Sébastien, s'aperçoit qu'il respire ; il est vivant ! (Certains pensent que ses hommes, en raison de l'affection qu'ils avaient pour lui, évitèrent soigneusement de toucher un organe vital).

Transporté chez Irène, celui-ci guérit promptement et se rend devant l'empereur afin de lui reprocher sa conduite et son incroyance. Celui-ci le fait alors assommer à coup de massue et ordonne que l'on jette son corps dans les égouts de Rome, cela se passe le 20 janvier. Mais une chrétienne du nom de Lucine le trouve et le fait enterrer, une église sera construite sur son tombeau.

b) Le culte de saint Sébastien

Initialement, saint Sébastien était un saint fondateur ; c'est au 7ème siècle qu'il devient un saint guérisseur ; en 680, il est invoqué pour délivrer Rome d'une grande peste et garde un rôle protecteur au Moyen-Âge ; au 14ème siècle, plus du tiers de la population disparaît à cause d'une grande épidémie de peste noire.

Saint Sébastien est le patron des archers et en 825, sous le règne de Charles le Chauve, le Pape Eugène II confie aux archers le transfert des reliques du saint dans l'abbaye royale de saint Médard, à Soisson.

Saint Sébastien est également le patron des marchands de ferraille et des confréries de charité.

c) La saint Sébastien - Les chevaliers de saint Sébastien

La fête de saint Sébastien

Tous les ans, aux alentours du 20 janvier, les compagnies de tir à l'arc fêtent la saint Sébastien. 

Les chevaliers de saint Sébastien

Les compagnies d'arc, qui jouèrent un rôle important dans la lutte contre l'envahisseur anglais, furent très nombreuses en Picardie, Champagne et dans le Nord, et toujours doublées de confréries religieuses très respectées ; plusieurs Roi de France en furent membres : Henri II, François II, Charles IX, ... Leur importance décrut peu à peu pour disparaître à la révolution, les compagnies étant dissoutes en 1790. Néanmoins celles-ci renaquirent une fois les événements calmés. Quant à la confrérie de saint Sébastien, si tous les tireurs du début de ce siècle en faisait partie, seuls quelques tireurs peuvent aujourd'hui se targuer du titre de chevalier de saint Sébastien, un tireur n'étant admis que s'il fait preuve de qualités importantes de probité et de courtoisie.

Saint SEBASTIEN ,Patron des Archers

Samedi 21 janvier 2012 à 18:51

 
L'Histoire du Tir A L'Arc 
Le Tir à l’Arc est un sport dont l’origine se perd dans la nuit des temps. Il n’est pas de peuplade en un 
coin du monde qui n’ait pas elle-même découvert le Tir à l’Arc, exception faite cependant de l’Australie, 
ce continent étrange dont les indigènes inventèrent le boomerang et s’en contentèrent à juste titre 
d’ailleurs. 
On a trouvé dans les grottes d’Espagne, des peintures rupestres évaluées à 10.000 ans avant J.C. 
On a découvert également des arcs fossilisés dans des tourbières et rivières, en Angleterre, en France et 
dans des fouilles de cités lacustres suisses datant de 8.000 ans. De plus, il est certain que ces arcs n’étaient 
pas les premiers conçus. 
Le matériel s’est vite perfectionné : bois durci au feu, flèches en pointes dentelées, utilisation de la pierre, 
de l’os et de l’empennage de plumes. 
Par contre, de nos jours encore la plupart des tribus africaines ne connaissent pas cette dernière 
amélioration indispensable quant à la précision du tir. 
Rapidement, dans la haute antiquité, les contrées peu pourvues en bois ont fabriqué des arcs par collage 
de bandes de cornes, d’os, de nerfs et de tendons créant ainsi les premiers arcs « composés », 1.000 ans 
avant les arcs actuels. 
La littérature abonde de récits hauts en couleur concernant l’arc et le tir à l’arc. 
Le premier grand archer connu serait ULYSSE . 
Mais les Egyptiens, les Perses, les Assyriens et tous les peuples de notre civilisation antique sans oublier 
certaines peuplades de l’Extrême-Orient eurent des armées composées uniquement d’archers, souvent des 
mercenaires originaires d’une même région. 
     
Il a été utilisé d’abord comme arme de chasse avant d’être utilisé au combat. 
Les Gaulois et les Francs n’utilisaient l’arc qu’à la chasse. Ils furent décimés lors de plusieurs batailles 
engagées, notamment contre les mercenaires Crétois et Numides des armées romaines. 
En France, c’est CHARLEMAGNE qui fut le 
premier à comprendre la valeur de l’arc au 
combat. Dans capitulaires, il a créé les 
premières Compagnies en fixant les conditions 
de recrutement et d’équipement des archers. 
A sa mort en l’an 814, plus personne ne fait 
respecter ces ordonnances. 
Ce sont les Normands qui remettent au goût du jour l’arc à la guerre. 
C’est en effet grâce en grande partie aux archers normands que 
GUILLAUME le Conquérant gagne la Bataille d’Hastings le 14 Octobre 
1066. Les Français abandonnent l’arc au profit de l’arbalète. 
La conquête de l’Angleterre terminée, l’arc devient l’arme nationale. 
C’est sous le règne d’EDOUARD III que commence la Guerre de Cent 
Ans. Il y oppose ses archers aux arbalétriers français et espagnols. 
Malgré le perfectionnement de cette nouvelle arme, l’arc s’est révélé supérieur tant par sa vitesse de tir 
que ses facilités d’utilisation. 
A la fin de la Guerre de Cents Ans, CHARLES V impressionné par les exploits des archers, fait renaître
le goût de l’arc en France. 
En peu de temps, les archers français peuvent rivaliser d’adresse avec leurs adversaires. 
A sa mort en 1380, son fils CHARLES VI sous la pression de l’Aristocratie, fait cesser le Tir à l’Arc : 
« SI ENSEMBLE SE METTENT LES ARCHERS, ILS SERONT 
PLUS PUISSANTS QUE PRINCES ET NOBLES » 
Le résultat ne se fait pas attendre : c’est le désastre d’Azincourt en 1415 ! 
Les Anglais ont pris les mesures les plus strictes pour préserver l’armée 
nationale. CHARLES VII créé un corps de Cavalerie permanente, 
comprenant des archers montés. Ceci ne donne pas de résultats 
satisfaisants et par l’ordonnance de Montils-Les-Tours, le 28 Avril 1448, il 
procède à la création des Francs-Archers. 

Chaque ville en fournit un nombre proportionné à la population. Ceux-ci doivent 
répondre à l’appel du Roy en cas de danger menaçant le Pays. 3
Chaque Franc-Archer, qui est nommé aussi Franc-Taupin (de taupe), est armé 
d’un Grand Arc, d’un carquois contenant 12 à 18 flèches suivant les régions et de 
la vouge, sorte de lance terminée par une lame large, il peut avoir également une 
épée et une dague. 

Ces soldats sont : 
« eslus (élus) et choisis parmi les plus droiets (adroits) et aisés pour le faiet et l’exercice de l’Arc qui se 
pouvant trouver en chaque paroisse sans avoir égard, ni faveur à la richesse et aux requêtes que l’on 
pourrait sur ce faire… » 
Nous pouvons voir ici les origines réelles de nos Compagnies. Il est à noter cependant que la création de 
la Chevalerie de l’Arc remonte à CHARLES V. 
Descendants des archers du Moyen-Age, les Chevaliers actuels sont les successeurs des Francs-Archers 
qui figurèrent avec honneur dans nos premières armées permanentes. 
       
En l’an 1453, CHARLES VII réorganise la Garde écossaise et la présente aux archers du Royaume, 
comme un modèle d’adresse, de courage et de dévouement. 
Sous le règne de LOUIS XI, l’arbalète et l’artillerie se développent et vers la fin de son règne, il supprime 
les Francs-Archers. 
Ils sont rétablis par CHARLES VIII et subsistent sous LOUIS XII. 
Les Francs-Archers sont définitivement supprimés sous le règne de FRANCOIS 1er
Seule subsiste la Garde écossaise. 
 
L’ LLL’origine de nos Compagnies Actuelles ’’  
Comme nous l’avons dit plus avant, elles sont issues d’organismes semimilitaires, semi-civils au sein desquels les milices villageoises s’entraînaient 
en temps de paix. 
L’insécurité dans les campagnes a poussé les serfs, les artisans et les 
bourgeois d’une même localité à se grouper dans un de défense, à s’armer et à 
s’entraîner le dimanche. 
Organisés en Serments ou Compagnies, dotés de franchises et de privilèges 
spéciaux par tous les Rois de France depuis CHARLES V jusqu’à LOUIS XI, 
les chevaliers marchèrent en tête de la milice bourgeoise dont ils fournirent 
l’élite et la partie la plus active. 
LOUIS IX dit SAINT-LOUIS, en l’an 1320, publie une ordonnance par 
laquelle chacun est requis de pratiquer l’exercice du « Noble jeu de l’Arc » à 
l’exclusion de tout autre. Il s’était fait inscrire comme membre d’une 
Compagnie de Paris. 
       
En 1369, CHARLES V ordonne que : 
« Ses sujets prennent et s’entendent à prendre leurs jeux et ébattements à eux exercer et habiliter en
fait de traiets (flèches) d’Arcs et d’Arbalètes en beaux lieux et places convenables à ce, dans les villes et 
terroirs du Royaume et fassent leurs dons (Prix) au milieu tréant (meilleur tireur) et leurs Fêtes et joies 
comme bon leur semblera… Ordre est donné aux Sénéchaux, Baillis, Prévôts et autres Officiers du 
Royaume de mettre en exécution la dite ordonnance de point en point sous peine d’encourir notre 
indignation ». 
Cette ordonnance resta longtemps en vigueur. 
A l’instar des Corporations d’artisans ou de commerçants, les Compagnies se plaçaient sous le patronage 
d’un Saint, dont le plus connu est de nos jours SAINT SEBASTIEN. 
Pour se distinguer des arbalétriers, des arquebusiers et pour rappeler l’ancienneté de leur arme, les archers 
codifièrent et mirent par écrit ce que l’on appèle encore de nos jours la Chevalerie de l’Arc. 
Le tir principal dans nos Compagnies d’Arc est le BEURSAULT (ou BEURCEAU). Le tir se pratique à 
50 mètres en aller et retour. 
La Chevalerie de l’Arc prenant modèle sur la Chevalerie du haut Moyen-Age, dont les Statuts stipulent : 
« Le Chevalier, sitôt qu’il est élevé à la dignité de l’Ordre doit, exempt de tous vices et de tous défauts, réunir en lui toutes les vertus et toutes les perfections et honorer toutes les deux », est parvenu dans son esprit jusqu’à nos jours et pratiquée dans les Compagnies. 
Tant que les Souverains virent un intérêt militaire à soutenir les archers, ceux-ci bénéficièrent de privilèges et de franchises qui disparurent pour n’être conservés que pour le Roi et l’Empereur de chaque Compagnie. 

Les premiers droits et privilèges des archers ont été établis en l’an 1410. Ils donnaient droits aux archers d’ouvrir des débits de boissons et auberges, le Roi de l’année ayant abattu l’Oiseau était exempt de taxes, dîmes et gabelle pour l’année et l’Empereur qui avant abattu l’Oiseau trois années consécutives était exempt à vie (Heureux temps !). 
L’Edition originale des « Statuts et Règlements Généraux pour toutes les Compagnie du Noble Jeu de l’Arc et Confréries de SAINT-SEBASTIEN dans le Royaume de France » a été promulguée par Monseigneur Henry Charles Arnauld de POMPONNE en 1733 en l’Abbaye de Saint-Médard à Soissons dont il était l’Abbé commendataire, date de 1734. Il créa également en 1732 la 1ère Compagnie d’Arc de Nogent-sur-Marne. 
L’Abbé de POMPONNE , fixé à Nogent, tint à y créer une Confrérie du Jeu de l’Arc, à l’instar de celles qui fleurissaient dans le Soissonnais. 
L’Etablissement à Nogent-sur-Marne d’une Compagnie « du Noble Jeu de l’Arc » remonte en effet au 31 Août 1732.  
Les Statuts et Règlements Généraux furent reproduits en version intégrale et dans le respect de l’orthographe originale par Victor FOUQUE en 1852 
(Recherches historiques sur les Corporations des Archers, Henry Charles Arnauld de Pomponne des Arbalétriers et des Arquebusiers). Par les soins du Chevalier GEOFFROY, Capitaine de la Compagnie de Pierrefonds, E. LECONTE les réimprime à Crépyen-Valois en 1887, à destination plus immédiate des Chevaliers de l’Arc. 


De nombreuses Compagnies placées sous le patronage d’un Saint se doublaient d’une Confrérie Religieuse. C’est pourquoi à la Révolution elles devinrent suspectes. 
L’Assemblée Législative, par Décret du 13 Juin 1790, en prononçant la dissolution des Compagnies en incorpore les membres de la Garde Nationale ordonnant la suppression des uniformes et insignes et la destruction des étendards et des archives. Le Décret du 24 Avril 1793 ordonne la vente des biens des archers par adjudication aux Biens Nationaux. 
 
Après la Révolution de 1789 et la dissolution de toutes les Compagnies d’Arc et des Confréries de SaintSébastien, les anciens archers ont, en Pays d’Arc, reformé des Compagnies de tir à l’arc, d’abord dans la région de Château-Thierry et se sont réunies en groupements de caractère étroitement régional qui ont pris nom de Rondes l’Aisne, de l’Oise et de la Somme, formées exclusivement en vue de l’organisation de leurs Bouquets Provinciaux et dans la Région Parisienne, celui de Familles : de Paris, de Vincennes, de Beauté, de la Brie. Mais il n’existait pas de lien ni de cohésion entre les Compagnies ou de Comité élu chargé de les représenter à l’occasion des concours officiels, nationaux ou internationaux. 

L’appel à la Chevalerie établi lors des différents entre les Compagnies, les Rondes ou les Familles donnait lieu à des sanctions d’une autorité facile à contester. 
Lors de la préparation des Jeux Olympiques organisés à l’occasion de l’Exposition Universelle de Paris en 1900, Monsieur JAY, Capitaine de la Compagnie d’Arc de Saint-Pierre Montmartre et plusieurs autres 
Capitaines de la Seine et de l’Oise réunirent une Assemblée plénière de la Chevalerie qui se tint le 9 Avril 1899 en la Mairie du 10ème arrondissement de Paris et adopta les Statuts et Règlements d’une Fédération des Compagnies d’Arc de l’Ile de France sous la Présidence de Monsieur JAY. 
En 1911, ce titre fut changé en celui de Fédération des Compagnies d’Arc de France et agréée par le Ministre de la Guerre le 31 Décembre 1920. 
 

Samedi 21 janvier 2012 à 18:24

 Depuis 10 000 ans au moins, le tir à l'arc fut pratiqué pour chasser, et pour faire la guerre. Vers 1500, l'arrivée de l'arquebuse entraîne une disparition progressive de l'utilisation guerrière de l'arc. Le tir à l'arc devient alors un loisir puis un sport à part entière. L'une des premières compétitions se déroule en 1583, en Angleterre, avec plus de 3 000 participants. À partir du xixe siècle on se sert de l'arc pour les loisirs, bien que l’utilisation pour la chasse ne disparaisse pas complètement. La chasse à l'arc est maintenant redevenue populaire au Canada.

les compétitions de tir à l'arc faisait déjà partie des Jeux olympiques de 1900, 1904, 1908 et 1920 puis, après une longue interruption, le tir à l’arc y fut réintroduit en 1972.

Organisations[modifier]Arc long anglais

Les différents types d'arc[modifier]

Les arcs utilisés de nos jours n'ont plus rien à voir avec leurs ancêtres. Le bois a souvent été remplacé par des fibres de verre ou de carbone et de l'aluminium. Ils sont équipés d'un viseur, d'un repose-flèche, de stabilisateurs, d'amortisseurs, de poids, et, pour certains, de cames (poulies dont l'axe est excentré) qui démultiplient la puissance de l'arc. Ainsi, lors des compétitions, les flèches tirées vers la cible peuvent avoir une vitesse dépassant 300 km/h.

Parmi les arcs modernes, on distingue plusieurs types d'arc :

  • les arcs longs ou longbow, descendants des arcs anglais, n'ayant qu'une seule courbure de branche.
  • les arcs à poulies ou arcs compound : un système de poulies permet de démultiplier la force, une poulie asymétrique permet d'avoir une bonne accélération au moment du décochage, ainsi qu'une force de maintien plus faible.
  • l'arc « recurve » classique : arc utilisé aujourd'hui en compétition catégorie classique (catégorie olympique) ; la forme dite « recurve » (branches recourbées) existe aussi pour les arcs chasse (« monobloc » ou non).

Pour des informations détaillées

Dimanche 15 janvier 2012 à 17:55

 

 

 

BIOGRAPHIE ROSY VARTE


Le rôle de Maguy a pris le pas sur tous les autres dans la carrière de Rosy Varte . L'actrice d'origine arménienne a interprété cette saga à la française  pendant les 333 épisodes de la première sitcom jamais diffusée en France.


Chaque week-end, de 1984 à 1992, les 
familles se retrouvent pour découvrir les déboires de Maguy et de ceux qui gravitent autour d'elle, dans des épisodes dont on voit encore aisément le lien avec le théâtre de boulevard.

La série n'est pas un début pour l'actrice, déjà dans le métier depuis plus de trente ans. En 1948, Rosy Varte décroche son premier rôle au cinéma avec 'Manon' d'Henri-Georges Clouzot.
Elle trouve sa place aux côtés de 
Jacques Brel dans 'Mon oncle Benjamin', est choisie par François Truffaut pour jouer dans 'L' Amour en fuite' ou interprète le rôle d'Elvira dans 'Le Viager' de Pierre Tchernia.

Les partitions burlesques lui sont particulièrement familières. Rosy Varte s'en donne à coeur joie sous la houlette de son mari 
Pierre Badel dans 'La Mégère apprivoisée' ou avec Jean-Paul Belmondo dans 'Peur sur la ville'.

Au début des années 1990, la saga 'Maguy' prend fin et Rosy Varte quitte les plateaux. Les téléfilms '
Rosalie s'en va' en 2005 et 'Hubert et le chien' en 2007 lui ont permis de sortir son visage de l'oubli.

Mais Rosy Varte restera la caractérielle Maguy aux yeux de plusieurs générations de téléspectateurs.

Dimanche 15 janvier 2012 à 17:51

 

Rosy Varte, inoubliable Maguy, est morte


Rosy Varte à l'Ile de Ré, en juin 2002.

Rosy Varte

 

 

L'actrice était notamment connue pour avoir incarné pendant des années sur le petit écran, la sympathique Maguy.

 

Avant cela, elle brilla sur les planches. Ayant commencé au TNP, elle rejoignit la Comédie Française au début des années 1970 et se spécialisa dans les rôles comiques. Elle fut notamment la soeur de Jacques Brel dans Mon Oncle Benjamin ou la partenaire de Jean-Paul Belmondo dans Peur sur la ville.

 

Mais si elle est connue du grand-public, c'est surtout pour avoir interprété le rôle de Maguy, dans la série télévisée épônyme, pendant pas moins de huit ans et 333 épisodes!

Vous aussi vous vous souvenez de Maguy? Vous aimiez bien? Ou vous avez vu Rosy Varte au théâtre? Dites-le nous dans les commentaires ci-dessous...

 Clémence Lemaistre

ELEVISION - Connue pour avoir joué la sympathique Maguy pendant des années, Rosy Varte était également une célèbre actrice de théâtre et de cinéma...

La comédienne Rosy Varte est décédé ce week-end à l'âge de 89 ans, selon une information Euro

Dimanche 1er janvier 2012 à 21:12

 


 

 

Lang Lang : la virtuosité éclatante

Né en 1982 à Shenyang, en Chine, Lang Lang commence à jouer du piano dès l'âge de 3 ans. Il fait ses classes au conservatoire central de Pékin. 

     Lauréat de prestigieux concours internationaux en Allemagne et au Japon, il se révèle au grand public en 1999 lors d'une prestation saisissante au festival de Ravinia près de Chicago. Il remporte le concours Chopin de Varsovie en 2000 et joue pour la première fois au Carnegie Hall en 2001. 

    Ce concert demeure un événement marquant de son début de carrière : son talent prodigieux est dès lors unanimement salué. Depuis, Lang Lang se produit avec les orchestres internationaux les plus célèbres, tel l'orchestre de Philadelphie ou encore le London Philarmonic. Il joue sous la direction des plus grands chefs d'orchestre contemporains comme Daniel Barenboïm ou Zubin Mehta. 

   Vedette à la renommée internationale, Lang Lang est célébré autant aux Etats-Unis, en Chine qu'en Europe et a déjà parcouru trois continents en 2003.

   Artiste Deutsche Grammophon, il se produit régulièrement sur les grandes scènes internationales et dirige des Master classes et jouit d'une médiatisation sans précédent pour un 
musicien classique. En 2007, il publie l'album Dragon Songs, un mélage de classique et de musique traditionnelle chinoise. Il est suivit par l'opus Chopin (2009), qu'il joue beaucoup en récital mais qu'il n'avait jamais enregistré. Sa popularité est telle qu'il est demandé pour jouer quelques morceaux lors du cinquième volet du 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

jeu vidéoGran Turismo.

Voici quelques extraits musicaux Lang Lang <www.myspace.com/langlangpiano

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